mardi 22 novembre 2011

Billet 8 : Résumé de lecture

Bonjour cher lecteur, ce billet va être différent des autres, car on doit faire un résumé d’un texte qu’on a lu. De mon côté, j’ai lu un texte sur le vieillissement de la population.
Tout d’abord, une cause du vieillissement de la population est le changement des coutumes. Autrefois, il y avait une moyenne de 5-6 enfants par famille et les couples se fessait pousser dans le derrière pour qu’il fasse des enfants. De nos jours le nombre d’enfant par famille est rendu en moyenne de 2,1. C’est une très grande diminution sur une différence de seulement 50 ans! C’est majoritairement la cause du vieillissement de la population, car il y a autant de gens dans le groupe d’âge de 60 ans et plus qu’autrefois mais il y en a beaucoup dans les groupes d’âge en bas de 60ans.
Deuxièmement, le fait qu’il y a moins de maladie qu’autrefois et qu’elles sont beaucoup mieux contrôlées diminue le nombre de mort et permet à ces gens d’atteindre des niveaux d’age plus élevé. On peut prendre comme exemple l'Afrique, là où de nombreux enfants mourrait en très bas âge. De nos jours, il y a encore des enfants en Afrique qui sont mal nourrit et meurt jeune , mais il y en a beaucoup moins qu’il y a 50 ans !

Bibliographie:
Vallin, Jacques(2006). «La planète vieillit, mais de façon très contratée» État du Monde 2007, Montréal, La Découverte/Boréal p. 88 à 94.

jeudi 10 novembre 2011

Billet 7: Analyse des mesures d’urgence et de la réaction des gouvernements

Analyse de la réaction du gouvernement face à l’ouragan

Une hypothèse est ressortit pour essayer de comprendre la non-intervention du gouvernement lors du passage de l’ouragan Katrina en Louisiane. D’après la Federal Emergency Management Agency, la non-intervention est une forme d’intervention. Cette institue mêle une politique de lutte contre les catastrophes naturelles et contre les menaces politiques. D’après des observations, la FEMA n’était pu prête à affronter une telle catastrophe à cause des modifications apporté par George W. Bush Jr. Plusieurs personnes jugent les décisions du présidant Américain concernant la position des soldats américains en Irak et non sur les côtes de la Nouvelle-Orléans pour donner secours aux réfugiés. L’échec de l’ouragan Katrina souligne ainsi la vulnérabilité intérieure de l’Amérique et les failles de son dispositif de sécurité intérieure.

Analyse des mesures d’urgences

Les mesures d’urgence ont été pitoyables. Plusieurs personnes ont attendu d’hypothétiques secours sur le toit, car leur maison avait été complètement inondée. Il y a eu des cadavres gisant dans la ville pendant plusieurs jours. Dans les centres de réfugiés, plusieurs scènes de violence sont survenues sans aucune intervention des autorités. Le gouvernement américain à même demandé de l’aide international et certains de leurs plus farouches adversaires, comme Hugo Chavez au Venezuela ou Fidel Castro à Cuba, s’offrant le luxe de lui proposer leur secours.

Le centre de police de la Nouvelle-Orléans à évaluer des centaines d'abandons de poste (près d'un tiers des effectifs) lors du passage de l'ouragan. il manquait alors beaucoup d'effectif pour aider la population.

Le Département d’État américain a annoncé que des propositions d’aide étaient arrivées du Canada,de la Russie, du Japon , de la France et de plusieurs autres pays. Du côté financier, plus de 800 millions ont été offert par les autres pays pour aider les victimes mais seulement 40 millions ont été utilisé par les États-Unis.

Des organismes tels que la croix rouge et l’armée du salut ont amassé plus de 100 millions de dollars pour venir en aide aux sinistrés.



En 2004, les Etats-Unis avaient créé une simulation d’un ouragan nommé Pam de catégorie 4 qui frapperait les côtes de la Nouvelle-Orléans. En insérant dans la simulation tous les services d’urgence tels que les pompiers et les policiers, il avait obtenue un bilan assez catastrophiques dont plus de 60 000 morts et de 500 000 à 600 000 immeubles détruits. Après cette simulation, le gouvernement aurait du apporté des changements dans l’approche d’ouragan.